3 mars 2012

Verdon - Semaine d'entrainement 9/25

Dates : 25/02/2012-02/03/2012
Phase : II - démarrage qualité
Semaine : 2/6

Séances








Intensité







Sensations : excellentes
Fréquence cardiaque test de Ruffier : 49 / 119 / 53 bpm
Poids : 68,8 kg
Masse graisseuse : 10,4 %

Explications : abréviations, plan, séances, points, test de Ruffier (suivre les liens)

De loin la meilleure semaine depuis le début du plan,  avec l'ensemble des voyants au vert :
  • j'ai réussi à trottiner la quasi-intégralité des descentes en rando-trail, sans les phases de marche rapide habituelles et sans sortir de la zone cible (< 75 % Fcm) ;
  • les nouvelles données recueilles lors de l'Ecp semblent confirmer un gain de vitesse sur le plat ;
  • le rythme T commence à bien être intégré et devenir routinier.
Mer de nuages à la Cime de Baudon
Toutes les séances ont été effectuées avec grand plaisir, renforcé par une impression de relative facilité et d'en avoir pas mal en réserve, me sentant capable d'accélérer à tout moment sans trop accroitre la difficulté ressentie.

Hélas, encore une partie de tennis annulée tardivement, ce qui peut à moyen ou long terme devenir préjudiciable et limiter les performances.

En effet, j'adhère pleinement à la philosophie de Jack Daniels selon laquelle le succès dans toute activité dépend de 4 facteurs clés :
  • 1. le talent inné :  gagner à la loterie génétique, par exemple avoir un "gros cœur" et des fibres musculaires lentes pour un coureur d'endurance ;
  • 2. la motivation : le désir et l'envie de mettre à profit son talent inné et d'atteindre son plein potentiel ;
  • 3. l'opportunité : l'environnement dans lequel on grandit et vit qui va offrir plus ou moins de facilités pour s'entrainer.  Il s'agit d'avoir suffisamment de temps disponible, d'argent, accès auxs infrastructures nécessaires, être confronté en compétition à une concurrence pouvant nous tirer vers le haut, ... ;
  • 4. la direction : suivre un schéma, un plan adapté, établi soi-même ou par un coach.
Pic des Courmettes nocturne avec Max
Ou est-ce que je veux en venir ? Et bien à une petite comparaison, si je semble avoir de loin de bien meilleures capacités au tennis qu'en trail :
  • la motivation y est aléatoire : je pourrais consacrer quelques années à essayer de passer seconde série, mais cela ne me parait pas très important ou valorisant, contrairement à l'ultra-trail, véritable passion et défi personnel ;
  • les opportunités sont plus limitées : réserver un court pour 2h d'affilée n'est pas évident, les partenaires libres de même niveau sont rares et il n'est pas possible de jouer sous la pluie ou sur terrain mouillé alors qu'il suffit de prendre ses baskets pour aller courir, même sous la neige ou de nuit.

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